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www.amour-poemes.com | Détails | Hits : 6 | Voter >> Nombre de votes : 2
Catégorie : Accueil > Arts, culture
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Vos longs cils langoureux me font languir d'amour - 10-08-2011
Vos suprêmes regards les plus cruels exils
Savent cicatriser par leur calme douceur;
Oui, j'aime infiniment, ma platonique soeur,
Réfugier mon coeur à l'ombre de vos cils
Majestueux et doux. Grands porches protecteurs
A l'ombre desquels mon âme se sent en paix,
Vos cils noirs adorés, recourbés et épais,
Vos longs cils envoûtants, sensuels et charmeurs
Sont les tendres coussins moelleux et maternels
Sur lesquels calmement je repose mon coeur
Satisfait d'y puiser la douceur des bleus ciels,
Des ciels vastes et clairs dépourvus de nuages,
Purs reflets transparents, ô séraphique soeur,
De ce qui constitue le plus doux des visages,
Le plus ensorceleur et le plus cajoleur,
Bien mieux dépaysant que les plus belles plages,
Le vôtre, où le divin vient noyer ses langueurs.
Jour et nuit, mon amour, mon coeur se baignerait
Dans le lac transparent de vos beaux yeux vainqueurs
Pour mieux y déguster le très nourrissant lait
De la maternité qui rayonne en vos yeux.
Je voudrais, mon enfant, me bercer à loisir
Dans les fauteuils moelleux de vos regards soyeux
Qui de par leur douceur font mon coeur défaillir.
Je voudrais vous aimer toute l'éternité,
Suspendre à vos regards mon coeur tout alangui,
Dans le Graal sacré de votre féminité
Boire un peu du divin en votre être enfoui.
Je voudrais, avec l'art diligent des orfèvres,
Sculpter dans le rocher de mes éternels vers
La soie de vos cils fins, le velours de vos lèvres
Et la calme beauté de vos profonds yeux verts.
Vous êtes un beau rêve éblouissant et clair
Qui mon âme tourmente et mon coeur illumine.
Votre beauté fatale, insolente et divine
Zèbre mon coeur conquis d'un très puissant éclair:
Cet éclair, c'est l'éclair tout-puissant de l'amour,
De l'amour le plus pur et le plus vertueux,
Mon âme allant quêter dans vos yeux de velours
Des célestes plaisirs éthérés et pieux.
Je voudrais, mon amour, graver mes chers serments
Sur un fin parchemin précieux et secret,
Pour que vous lisiez de vos yeux captivants
Les langoureux élans de mon beau coeur doucet
A l'égard de votre être fatal et suprême.
Mon coeur est enchaîné à vos yeux: le boulet
Que je tire avec moi, c'est celui, pâle et blême,
De votre charme exquis dont je suis le jouet.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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VOLUPTE - 09-08-2011
Ta chevelure exquise est un buisson ardent
Qui mon coeur illumine et mes yeux rassérène!
Lorsque je la respire, ô ma pudique reine,
Je découvre un plaisir presque abracadabrant,
Le plaisir de t'aimer, jour après jour, plus fort,
Pour vivre à tes côtés les liens de la tendresse
Et t'aimer tout autant qu'une belle princesse
Au yeux doux, au coeur tendre, dont l'unique trésor
Est la limpidité de son âme sublime.
Dans tes yeux souverains qui versent leur douceur
Dans mon âme charmée, mon amour, je m'abîme,
Comme si maintenant je m'abîmais en Dieu
Afin de retrouver le paradis perdu
Que je foule avec joie en baisant ton corps nu,
En plongeant mon regard dans tes pudiques yeux,
En te faisant l'amour voluptueusement
Et en te désirant, délicieuse enfant:
Dans tes bras protecteurs d'où jaillit la tendresse
Je suis au paradis et mon coeur en liesse
Chante sa bonne humeur à respirer ton corps
Qui m'est plus précieux que les plus chers trésors
Et sous lequel je croule de plaisir intime.
Tu es tendre et divine et profonde et sublime
Et douce et délicate et charmante et câline
Et j'aime la douceur ineffable et divine
De tes seins maternels qui réchauffent mon coeur
En m'offrant vastement leur plus tendre douceur.
Oh! tes seins! Sucres doux! Bonbons très savoureux!
Barbe à papa sucrées! sucettes agréables!
Sont mes granges, mon foin, mes douillettes étables
Où je dors et je mange à loisir, où je peux
Vivre mon idéal d'amour et de douceur
Et combler les besoins de mon sensible coeur.
Tes vertigineux seins, troublante chair exquise,
Aux mamelons plus ronds que de rouges cerises,
Tes seins voluptueux d'une blancheur troublante,
Je les suce avec joie et douceur, mon amante,
Puisant dans leurs douceurs ineffablement pures
Des joies et des gaietés juvéniles et mûres
Qui me font vénérer ta poitrine altière
Dont la beauté parfaite jamais ne s'altère,
Et dont la chair sucrée, offerte à mes baisers,
Frissonne sous ma langue. Dans les verdoyants prés
De tes seins magnifiques où je me repose,
Je goûte un abandon merveilleux, le doux rose
Opalin de leur chair joliment lactescente
Couronnant ta beauté qui presque m'épouvante
Tant elle resplendit. Sous tes siens provocants,
Doux, tendres, féminins, maternels, cajolants,
Tendrement je jouis, buvant dans leur douceur
L'essence du sacré qui rajeunit mon coeur
Et me fait t'adorer voluptueusement
Avec une gaieté de tout petit enfant.
Tes seins sont mon festin dont, oui, moi je ripaille,
Leur candeur mirifique me tue et m'assaille,
Leur douceur me sidère et leur très infinie,
Très pure et très parfaite et vaste symétrie,
Les rend, ô mon enfant, presque incroyablement
Voluptueux et doux. Ils sont un agrément
Divin qui embellit ton corps dont je suis fou,
Me faisant t'adorer, humblement, à genoux,
Pour mieux porter aux nues ta riante beauté
Dont l'infinie, sacrée et calme majesté
Fait de toi ma déesse adorablement tendre
Dont je veux pour toujours profondément m'éprendre.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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VOLUPTE - 09-08-2011
Ta chevelure exquise est un buisson ardent
Qui mon coeur illumine et mes yeux rassérène!
Lorsque je la respire, ô ma pudique reine,
Je découvre un plaisir presque abracadabrant,
Le plaisir de t'aimer, jour après jour, plus fort,
Pour vivre à tes côtés les liens de la tendresse
Et t'aimer tout autant qu'une belle princesse
Au yeux doux, au coeur tendre, dont l'unique trésor
Est la limpidité de son âme sublime.
Dans tes yeux souverains qui versent leur douceur
Dans mon âme charmée, mon amour, je m'abîme,
Comme si maintenant je m'abîmais en Dieu
Afin de retrouver le paradis perdu
Que je foule avec joie en baisant ton corps nu,
En plongeant mon regard dans tes pudiques yeux,
En te faisant l'amour voluptueusement
Et en te désirant, délicieuse enfant:
Dans tes bras protecteurs d'où jaillit la tendresse
Je suis au paradis et mon coeur en liesse
Chante sa bonne humeur à respirer ton corps
Qui m'est plus précieux que les plus chers trésors
Et sous lequel je croule de plaisir intime.
Tu es tendre et divine et profonde et sublime
Et douce et délicate et charmante et câline
Et j'aime la douceur ineffable et divine
De tes seins maternels qui réchauffent mon coeur
En m'offrant vastement leur plus tendre douceur.
Oh! tes seins! Sucres doux! Bonbons très savoureux!
Barbe à papa sucrées! sucettes agréables!
Sont mes granges, mon foin, mes douillettes étables
Où je dors et je mange à loisir, où je peux
Vivre mon idéal d'amour et de douceur
Et combler les besoins de mon sensible coeur.
Tes vertigineux seins, troublante chair exquise,
Aux mamelons plus ronds que de rouges cerises,
Tes seins voluptueux d'une blancheur troublante,
Je les suce avec joie et douceur, mon amante,
Puisant dans leurs douceurs ineffablement pures
Des joies et des gaietés juvéniles et mûres
Qui me font vénérer ta poitrine altière
Dont la beauté parfaite jamais ne s'altère,
Et dont la chair sucrée, offerte à mes baisers,
Frissonne sous ma langue. Dans les verdoyants prés
De tes seins magnifiques où je me repose,
Je goûte un abandon merveilleux, le doux rose
Opalin de leur chair joliment lactescente
Couronnant ta beauté qui presque m'épouvante
Tant elle resplendit. Sous tes siens provocants,
Doux, tendres, féminins, maternels, cajolants,
Tendrement je jouis, buvant dans leur douceur
L'essence du sacré qui rajeunit mon coeur
Et me fait t'adorer voluptueusement
Avec une gaieté de tout petit enfant.
Tes seins sont mon festin dont, oui, moi je ripaille,
Leur candeur mirifique me tue et m'assaille,
Leur douceur me sidère et leur très infinie,
Très pure et très parfaite et vaste symétrie,
Les rend, ô mon enfant, presque incroyablement
Voluptueux et doux. Ils sont un agrément
Divin qui embellit ton corps dont je suis fou,
Me faisant t'adorer, humblement, à genoux,
Pour mieux porter aux nues ta riante beauté
Dont l'infinie, sacrée et calme majesté
Fait de toi ma déesse adorablement tendre
Dont je veux pour toujours profondément m'éprendre.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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Ô BLONDE ENCHANTERESSE - 04-08-2011
Tu possèdes, ô muse, ô blonde enchanteresse,
Le charme très profond de la fière jeunesse,
Ton parfait corps laiteux d'un esthétisme pur
Te rendant belle autant que le céleste azur.
Tes cheveux captivants d'un soyeux magnifique
Sont beaux comme un soleil qui réchauffe mon coeur;
C'est avec un plaisir sexuel et mystique
Que je bois ta beauté à l'effet ravageur.
Dans tes très grands yeux clairs d'un bleu éblouissant,
Mon coeur soumis à toi se noie limpidement,
Trop heureux de plonger dans le céleste abîme
De tes yeux somptueux dans lesquels je m'abîme
Bien plus intensément qu'en Dieu Lui-même; ô femme,
Bel ange lumineux, tu as ravi mon âme
Par la lumière aiguë de tes blonds cheveux d'or
Qui ruisselle en mon coeur qui vénère et adore
La céleste beauté de tes yeux trop mignons
Qui souvent correspond au charme très profond
De tes blonds cheveux fins, lisses et déliés
Qu'avec joie je caresse, les sens extasiés,
Mes yeux doux et mon coeur tendre angéliquement,
Se sentant transformés par ta grâce d'enfant,
Se ressentant émus jusqu'à la pâmoison,
Chastement traversés d'un céleste frisson,
Comme purifiés par tout ce qui, ma fleur
Délicate respire en ton corps la candeur,
Mon âme respirant dans ton corps qui m'est cher
Les parfums enivrants d'un lis altier et fier.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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EXTASE - 03-08-2011
"Lorsque je lève les yeux, Je rencontre le ciel Et me dis: "Mon Dieu, Mais c'est sensationnel, Tant de bleu." Lorsque je lève les yeux, je rencontre tes yeux Et me dis: "Mon Dieu, c'est vraiment merveilleux, tant de bleu."
"Plus bleu que tes yeux"
Charles AZNAVOUR
Dans le céleste bleu de tes yeux idéaux
Qui brillent tendrement comme de purs joyaux
Dans mon coeur qui les aime avec ravissement,
Je vois la Voie Lactée, le ciel, le firmament.
Ce bleu clair, transparent, de tes doux yeux royaux
Qui sont aimants, câlins, très tendres et très beaux,
Mignons, jolis, sacrés, de douceur enfantine,
Mon âme caressée et maternée câline
En versant sa lumière divine et christique
Dans mon coeur submergé de leur grâce mystique
Qui trouve tes yeux tendres somptueusement.
Ce que mon âme voit dans le bleu saisissant
De tes ravissants yeux de déesse enfantine,
C'est de Dieu la douceur ineffable et divine.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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TRANSPORT - 03-08-2011
Une adorable blonde au teint blanc, rose et pâle,
Au visage plus pur qu'une aurore naissante
Moi j'aime et ses grands yeux sont une aube vivante
Qui mon coeur éclaircit. Son grain de peau d'opale
La rend douce et très pure et ses doux yeux très bleus
D'un bleu tendre et profond, délicat, ravissant,
Profond comme la mer et comme l'océan,
Ses magnifiques yeux rêveurs, majestueux,
Me rendent amoureux très romantiquement.
Le très tendre incarnat de ses joues de poupée
La rend jolie autant qu'une tendre pensée
Violette, et sa bouche, parfait diamant,
J'adore l'embrasser tendrement, chastement,
Pour sentir vers le Christ mon âme transportée.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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Dans le berceau moelleux de tes bras et tes seins - 03-08-2011
J'adore me bercer aux douceurs de tes bras
Maternels et câlins. Je me sens enfantin
A dormir chaudement, tel un tendre poussin
Dans le moelleux duvet de tes chaleureux bras
Qui cajole mon coeur et calme mes angoisses.
Tu es mon réconfort le plus inextinguible.
Tes seins magnétisants à la chair comestible
Sont l'abri protecteur et les saintes paroisses
Qui soulèvent mon âme et mon coeur sanctifient.
Lorsque ma bouche goûte à tes seins qui défient
Par leur pure beauté le plus beau des visages,
Il me semble croquer des sirupeux raisins
Rouges, sucrés, juteux, croquants, mûrs et sauvages,
Dont les parfums fruités sont grisants et divins.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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Qu'il fait bon dormir près de ma blonde - 02-08-2011
L'âme de Dieu résonne en ton âme d'enfant
Et ta christicité fait de toi ma déesse
Incomparablement douce, ô mon tendre et doux faon!
T'aimer plonge mon coeur dans l'extase et la liesse!...
Tes beaux yeux enfantins guident divinement
Mon coeur vers l'arche sainte de l'âcre tendresse
Et c'est pieusement que j'aime la caresse
Infime et romantique de ton regard bleu,
Plus profondément bleu que le plus bleu des bleus.
Dans tes yeux caressants, doux, profonds, beaux et
nobles,
Jeunes fertilement comme de beaux vignobles,
Je pressens à la fois la force et la beauté
Du champagne et du vin, du maïs et du blé.
Grâce à tes beaux regards caressants et candides
Qui réchauffent mon coeur de leurs splendeurs
languides,
Grâce au bercement fin de leur rayonnement
Mon coeur se redécouvre une crèche d'enfant
Et dors paisiblement à l'envi comme un ange:
Tu m'es plus précieuse que tous les choeurs des
anges.
Dormir tout près de toi, serré contre ton corps
Me fait redécouvrir la joie d'être un bébé,
Les battements profonds de ton coeur tant aimé
Constituent à mes yeux le trésor des trésors.
Ô mon amour! je t'aime! et t'aimerai toujours!
Tellement son profonds tes regards de velours,
Tellement son câlins tes baisers innocents
Et tellement sont beaux tes cheveux scintillants!
Dans tes fins cheveux blonds, brillants tels des soleils,
Mon coeur déguste Dieu; ces plaisirs sans pareil,
Je les chéris sans cesse et je chéris bien plus
La douceur de ta gorge impeccablement nue!...
Cette gorge où je viens déposer mes baisers
Sanglants, très délicats, ravageurs, tourmentés,
Tant la blancheur d'albâtre de ta gorge pure
Fascine mes yeux doux qui te font le murmure
De t'aimer tendrement avec fureur et joie,
Tant ta beauté m'émeut, tant en elle se noie
Mon coeur pétrifié par l'amour qu'il te porte,
Te voyant et trop belle et trop sainte et trop forte.
splendeur
E-Mail: philippedavid@bluewin.ch
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Pleurer pour eux - 01-08-2011
Aux peuples de cette terre
D'Afrique jusqu'autres continents
Et qui, en nous, vivent au présent
Là où se soulèvent les mers
Depuis longtemps il ne pleut plus
Le bonheur se fait taire par malheur
Et c'est en moi, à cœur perdu
Souciant, que je souffre de douleur
Je pense à cette île qu'était le Japon
A cette pauvreté que vit Haïti
Ô terre pourquoi tu nous as trahi?
Jusqu'ici j’entends les pleurs d'enfant
J'ai eu qu'un ami, toi ma terre
Tu soutenais les pas des Hommes
Aujourd'hui tu nous mets au froid face l'air
Dans les rues vident comme des fantômes
La nuit, quand pavoise la lune
Ils rêvent de nourritures
Outre mer les chiens sont rois
Et leurs richesses font la une
Les enfants privés du livre de lecture
Juste parce qu’ils n'ont pas de toits
Je vis, je suis bien mais là bas
Ils survivent aux combats
Je pleure pour eux
Et que Dieu bénis leurs cieux
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Petit papillon - 01-08-2011
Petit papillon
Envole-toi
Passe le message aux grillons
Dis leur que Christ est sur la voie
Il vient de prendre son départ
Et il te suit librement
Se promenant sur les remparts
Tout prudemment
Petit papillon
Fais attention
Le chemin est aiguillon
Prend précaution
Petit papillon
Pose-toi sur la plus belle fleur
Enjolive tes couleurs
Pour que tu sois plus brillant
Petit papillon attend moi
Près d'une rivière
De la nature je ne connais aucune loi
Tu protégeras mes paupières
Petit papillon
Merci...